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Qu’est-ce que les personnes de moins de 35 ans ont en commun qui pourrait les rendre plus susceptibles de devenir dépendants? On songe immédiatement à Internet, au téléphone ou aux nouvelles technologies en général. Toutefois, cela n’est pas exactement le cas.

En fait, les milléniaux seraient 125% plus à risque de développer une dépendance…aux rencontres amoureuses. Le monde de la séduction a totalement changé depuis l’apparition de sites web et d’applications de rencontre comme Tinder. En conséquence, les jeunes ne sont plus limités à leur entourage et les choix de partenaires se multiplient à l’infini. Est-ce si surprenant alors que cela puisse créer une dépendance?

«Chercher l’amour est la quête la plus importante de notre vie», explique Helen Fisher, anthropologue biologique et conseillère scientifique chez Match. Selon elle, le partenaire amoureux est la plus grande récompense que la vie peut offrir à un être humain. Il est donc compréhensible que certaines personnes deviennent accros à cette recherche du partenaire idéal.

Mme Fisher ajoute qu’il est normal que les personnes en bas de 35 ans soient plus dépendantes à ce processus de recherche que les autres, puisqu’à cet âge le corps et le cerveau cherchent à tomber amoureux et à faire des bébés.

Selon un récent sondage effectué par Match, un célibataire sur 6 se dit accro au processus de recherche d’un partenaire. Les hommes seraient plus à risque de développer cette dépendance, puisque 20% de ces derniers se déclarent accro aux rencontres.

Pour savoir si vous souffrez de cette dépendance, demandez-vous simplement si vous avez constamment des premiers rendez-vous, sans jamais revoir l’autre personne par la suite. Si c’est le cas, il se peut que vous ruiniez vos chances de rencontrer l’être cher. En effet, au-delà de neuf rencontres, le cerveau est saturé et se retrouve paralysé. À ce stade, vous pourriez tomber dans un cercle vicieux et devenir dépendant aux rencontres.

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