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Cette année, le long hiver aurait fait augmenter la moyenne de cas de dépression saisonnière. Alors qu’à l’habitude, en avril, 25% de la population serait atteinte de ce trouble, ce taux serait passé à 50% selon les estimations de Marc Hébert, chercheur au Centre de recherche CERVO du CIUSSS de la Capitale-Nationale.

Il explique au Journal de Québec : «La température a un effet, et il y a aussi un impact psychologique parce que les gens s’attendent à ce que le beau temps arrive et il n’arrive pas. Ça pourrait faire grimper le pourcentage».

Selon l’Institut universitaire en santé mentale de Montréal, les symptômes les plus communs de la dépression saisonnière sont la prise de poids, l’irritabilité, la difficulté à se concentrer, un besoin accru de sommeil, la sensation de jambes lourdes, le sentiment de déprime plus élevé en automne/ hiver et un manque d’énergie.

Plusieurs changements peuvent expliquer le trouble affectif saisonnier, comme les changements au niveau de la sérotonine, de la mélatonine et de votre horloge biologique.

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L’exposition à la lumière naturelle et l’exercice sont conseillés pour réduire le stress, les changements d’humeur et l’anxiété.

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