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La fosse des Mariannes – situé dans le Pacifique occidental, près de Guam – a fait l’objet de plusieurs voyages afin de conquérir Challenger Deep, l’endroit le plus profond de la Terre. Cette récente expédition à bord du navire Falkor a fait une recherche ciblée à différentes profondeurs et a trouvé des communautés d’animaux très acrives. Ainsi, l’expédition a établi de nombreux records en récoltant les échantillons de roches les plus profondes jamais recueillies et la découverte de nouvelles espèces de poissons à des profondeurs jamais enregistrées. Plutôt que de se concentrer uniquement sur le point le plus profond dans la fosse des Mariannes, l’équipe a plutôt exploré différentes profondeurs ciblées de 5 000 à 10 600 mètres dans un effort concerté pour acquérir une meilleure compréhension de l’interaction entre la vie et des processus géologiques. , a exprimé le lecteur de cette méthode: «De nombreuses études se sont précipités au fond de la fosse, mais d’un point de vue écologique, c’est une démarche très limitantes. C’est comme essayer de comprendre un écosystème de montagne en ne regardant que son sommet. L’expédition a donc battu plusieurs records pour le poisson vivant le plus profond, soit attrapé ou vu sur la vidéo. L’enregistrement à 8143 mètres démontrait une variété totalement inconnue appartenant à la famille des Liparidae, qui a stupéfié les scientifiques quand il a été filmé à plusieurs reprises au cours des expériences des fonds marins. Avant cette expédition, le poisson vivant dans les plus grandes profondeurs avait observé à 7 700 mètres. Le poisson blanc translucide avait nageoires en forme d’ailes larges et une queue d’anguille, et glissait lentement sur le fond. Falkor est maintenant de retour dans la fosse des Mariannes mener des recherches qui viendra compléter l’expédition précédente et continuer à explorer cet environnement unique. Les résultats de cette recherche aideront à répondre à des questions importantes sur le plus grand et le moins exploré des habitats de la Terre, y compris comment les organismes y vivent et comment la vie s’adapte à ces conditions extrêmes. De nouvelles espèces ont été découvertes au cours de cette expédition et l’étude de celles-ci permettra de mieux comprendre les adaptations physiologiques des animaux à cet environnement à haute pression. Dans le passé, différentes recherches sur des animaux vivant à des profondeurs modérées ont mené à la découverte de certaines molécules organiques qui protègent les cellules des animaux des profondeurs marines contre les effets de la haute pression.  

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