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Attention! La bouteille d’huile d’olive qui se trouve dans votre placard n’est probablement pas ce que vous pensez. Il se peut qu’elle soit diluée avec une autre huile végétale. Elle risque aussi d’être étiquetée «extra-vierge» sans l’être réellement. De plus, elle pourrait être rance ou périmée, sans toutefois comporter de danger pour la santé, révèle Alain Roy de l’émission L’Épicerie sur le site de Radio-Canada.

L’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) a analysé 550 échantillons d’huile d’olive entre 2005 et 2015 et a découvert que le tiers d’entre elles était soit mélangée avec une autre huile végétale (canola, tournesol, etc.), soit mal étiquetée, soit rance ou périmée.

Pour éviter de vous faire avoir, goûtez l’huile avant de l’acheter. Une huile d’olive extra-vierge de qualité devrait posséder un goût de fraîcheur et des notes végétales légèrement piquantes.

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De plus, prenez le temps d’observer la bouteille. L’étiquette devrait mentionner la provenance, le nom du producteur, l’année de récolte et la date d’expiration. Le prix peut aussi servir d’indication. Une huile extra-vierge authentique se vend à au moins 12 $ le litre. Ainsi, une huile vendue à moitié prix ne sera sans doute pas d’aussi bonne qualité.

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